Sandra Marchand
Revenir à soi. Se libérer. Se révéler.

Sandra Marchand – Parcours de transformation d’une femme déconnectée d’elle-même vers une reconnexion profonde au corps et à la vérité intérieure.

« Ce n’est pas qu’elle ne sait pas… c’est qu’elle s’est oubliée.
Je le sais. J’ai été cette femme. »

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De la femme forte qui s’oublie… à celle qui s’autorise enfin à exister pleinement.

Ce que je vais te partager ici, c’est mon propre chemin de transformation.
Pas pour raconter ma vie. Mais pour que tu sentes, profondément, que tu n’es pas seule.
Je l’ai traversé, ce flou intérieur — celui qui te fait douter même de ton ressenti.
J’ai été cette femme déconnectée d’elle-même, jusque dans son corps.
Et un jour, j’ai osé le dire :

« Je me choisis. »

Et c’est ce choix qui a tout changé — pas le contexte, mais ma place en moi.


Tu connais peut-être cette solitude silencieuse
Celle où tu ne sais plus vraiment qui tu es.

Tu continues d’avancer. Tu fonctionnes.
Mais à l’intérieur… tu n’es plus là.

«Présente, mais absente à toi-même.»

Tu ne ris plus. Tu ne ressens plus.
Et tu ne sais plus comment tenir ce masque de façade.

Pendant longtemps, j’ai cru que tout venait de moi: si ça n’allait pas… c’était forcément moi.
Je me remettais sans cesse en question.

Je pensais ne pas être “assez” : pas assez sérieuse. Pas assez légère.
Pas assez sensuelle. Pas assez sûre de moi.

La dévalorisation me collait à la peau.
Silencieuse. Insidieuse. Constante.

Je n’osais pas poser mes limites. Ni dire ce qui ne me convenait pas. 
Par peur de blesser, du conflit, ou simplement d’être “trop”.

Et à force de vouloir bien faire, je me suis doucement effacée.
Sans m’en rendre compte.
Jusqu’à me modeler pour exister dans les yeux des autres
et me perdre dans les miens.

Et toi, quand as-tu commencé à croire qu’il fallait t’oublier pour être aimée ?

Quand mon corps parlait avant moi

Je me sentais incapable d’incarner cette femme libre, audacieuse, entreprenante — celle qu’on célèbre partout, dans les pubs, sur les réseaux, dans les discours sur la "femme épanouie".

Ma sexualité était un champ de tension.
Il m’arrivait de dire oui pour avoir la paix, quand mon corps, lui, criait non.

«Je me suis tue. Mon corps, lui, implorait qu’on l’écoute.»

Et peu à peu, je me suis déconnectée de mon corps.
Je ne savais plus comment l’habiter.
Il était devenu un territoire de contradictions, de honte, de protection.

Et pourtant, il me parlait, ce corps. Depuis longtemps: mycoses à répétition, règles hémorragiques, vaginoses, douleurs pelviennes, fibromes, kystes aux seins, épaules figées…

Ce n’étaient pas des symptômes isolés.
C’étaient des signaux d’alerte. Des messages à décoder.

Quand on refuse d’écouter les murmures du corps, la vie finit toujours par hausser la voix.

Le choc, le deuil, la colère : le début d’un autre chemin

La mort brutale de mon père a fait voler en éclats tout ce que je croyais avoir mis à distance.
Des années sans contact. Des silences trop lourds. 
L’illusion qu’un jour, peut-être, je trouverais le courage de reprendre le lien.

Mais la vie en a décidé autrement.

J’étais bouleversée.
Submergée par la colère — contre lui, contre moi.

Abandonnée, trahie, blessée par ses mots… et par ceux restés coincés dans ma gorge.
Et malgré tout… il me manquait.

Ce deuil, je ne voulais pas le faire.
Je m’en voulais d’avoir laissé la peur me gouverner.
De m’être laissée figer par l’angoisse d’être à nouveau rejetée.
Je me noyais dans une culpabilité sourde

«Ce vide impossible à nommer m’étouffait.»    

C’est là que j’ai compris : je ne pouvais plus continuer comme ça.
Il fallait que je reprenne la barre.

Me délester de mes poids, de mes croyances, de mes blessures.
Revenir à moi, autrement.
Par une voie de guérison plus profonde. Plus vraie.

Quand le chaos s’apaise, la quête commence.
Et c’est souvent là que l’on se perd le plus.

Chercher, douter, tourner en rond.

J’ai longtemps cherché des réponses.
À mes douleurs. À mes blocages. À ce que je ne comprenais pas.

J’avais exploré la psychothérapie classique : trois ans à parler sans jamais être vraiment entendue.
J'en suis sortie encore plus perdue qu’en y entrant.

Et puis, j’ai rencontré une thérapeute différente.
Présente. Humaine. Parfois bousculante.
Avec l’EFT, l’EMDR, l’hypnose — des outils puissants de libération émotionnelle et de reconnexion au corps — un espace s'est ouvert.
Je pouvais respirer à nouveau.

Avec elle, j’ai pu éclairer mes contradictions.
Sentir ce qui sonnait juste.
Distinguer mes vérités…
de celles que j’avais absorbées sans m’en rendre compte —
celles de ma famille, de mon compagnon, de mon environnement.

C’est là que les Fleurs de Bach sont entrées dans ma vie.
Des élixirs subtils, presque imperceptibles… qui ont résonné profondément.

Elles m’ont aidée à mettre en lumière un schéma sourd :
ma vie entière baignait dans la culpabilité.
Celle de ne pas aimer “comme il faut”.
Ne pas être la bonne mère.  La bonne compagne. La bonne fille.

Cette rencontre a été si forte que je me suis formée,
pour transmettre à mon tour.

Aujourd’hui, je les propose quand elles peuvent accompagner une transformation intérieure — douce, incarnée, à la mesure de chaque femme.

Des alliées discrètes, mais précieuses.

« Ce jour-là, ce n’est pas ma tête qui a compris. C’est mon corps qui a relâché. »

C’est mon corps, finalement, qui m’a montré le chemin.
Celui que l’esprit, seul, ne trouvait pas.

Revenir à soi, profondément

Ce parcours m’a menée vers une voie plus concrète : une lecture énergétique du corps, de ses mémoires, de ses blocages inconscients… Une approche sensible et intuitive, qui entend ce que les mots n’arrivent pas encore à dire.

Et très vite, les choses ont bougé.
Ce que mon corps révélait, séance après séance… c’était saisissant.

Impossible à ignorer.

Ces approches ne s’arrêtent pas aux symptômes.
Elles vont là où le mental s’arrête : à la racine.

Elles écoutent ce que le corps garde depuis l’enfance — ou avant: ses mémoires cellulaires, ses blessures d’âme, ses schémas hérités,
mais aussi sa force vitale et sa capacité à choisir.

Le corps sait. Il garde trace. Il parle.

Le vrai courage ? Écouter… même ce qu’on préférait ne pas entendre.

C’est ce que permettent ces approches de libération émotionnelle: un dialogue subtil avec le corps, pour éclairer ce qui freine l’élan, ce qui s’est figé, ce qui n’a jamais pu être dit.

Ce ne sont pas des outils magiques.
Ce sont des révélateurs.  
Des appuis solides pour se réaligner de l’intérieur, en profondeur, durablement, avec ancrage, clarté et justesse.

Quand on arrête de fuir sa vérité, c’est la vie qui revient nous chercher.

Partager, transmettre... et te révéler à ton tour.

Ce chemin m’a permis de me relever, de me retrouver.
De redevenir pleinement vivante.

Et plus j’avançais, plus je réalisais que je n’étais pas seule.
D’autres femmes portaient les mêmes fardeaux,
les mêmes contradictions,
les mêmes silences.

Alors j’ai su: ce que j’avais traversé avait un sens.
Ce que j’avais compris, je devais le vivre pour le transmettre.

Aujourd’hui, c’est devenu ma mission:
accompagner les femmes à se libérer de ce qui les retient,
renouer avec leur corps,
apaiser leurs blessures invisibles,
et revenir à leur vérité la plus profonde.

Et si, en me lisant, quelque chose en toi résonne…
Si tu te reconnais dans mon histoire, sache que tu n’as pas à tout traverser seule.

Il y a toujours un moment, où un élan discret, presque inaudible, ose chuchoter en toi :

« Et si je me choisissais, cette fois ? »

Tu n’as pas besoin d’un grand saut.
Seulement d’un premier pas. Vrai. Authentique. Vers toi.


Si une part de toi sait qu’il est temps, alors offre-toi cet espace.
Découvre les accompagnements que j’ai créés pour t'y accompagner.
Pour revenir à toi. Pleinement.


Si tu as des questions autour de mes accompagnements:

 

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